LA NOUVELLE CUVÉE DU CHÂTEAU SAINTE MARGUERITE

Après 40 ans à apprivoiser le terroir, et à apprendre à en tirer le meilleur, le Château Sainte Marguerite exprime son savoir-faire abouti à travers cette nouvelle cuvée, qui porte le nom de « Fantastique ».

LA NOUVELLE CUVÉE DU CHÂTEAU SAINTE MARGUERITE
 

Sur les parcelles de La Londe-les-Maures, se joue un véritable concerto, et en rythme, des hommes et des femmes travaillent dans les vignes et en cave, pour un final épatant.
Dans cette dynamique, après « Symphonie », cuvée emblématique du domaine, le Château Sainte-Marguerite baptise sa nouvelle cuvée « Fantastique », en écho à la « Symphonie Fantastique » du célèbre compositeur Berlioz.

En appellation Côtes de Provence la Londe, ce qui distingue cette nouvelle cuvée, c’est surtout le travail effectué sur l’assemblage et l’élevage.

Tout d’abord, il s’agit d’une sélection des meilleures parcelles de Syrah, de Grenache et de Cabernet Sauvignon, vinifiées séparément.
Ensuite, est effectuée une sélection poussée sur le grain des meilleurs bois français pour constituer les barriques qui vont contenir plusieurs mois durant les précieux nectars.
Puis, il faut déceler les plus belles évolutions de Syrah, Grenache et Cabernet, élevés dans ces barriques entre 18 et 24 mois, et après de nombreuses combinaisons possibles, trouver le plus bel assemblage, le plus bel équilibre.

Car il ne s’agit pas d’une recette toute prête. Le vin est en constante évolution, et l’art d’en faire un grand, réside dans le fait d’y apporter une attention particulière chaque jour. De plus, en fonction du millésime, du climat de l’année, le choix ne sera pas le même, on privilégiera plus le Grenache ou plus la Syrah. Il faut savoir exprimer le potentiel de cet assemblage au moment opportun, ignorer le conformisme, et écouter le vin.

Pour le 40ème millésime, le Château Sainte Marguerite a l’ambition de vous offrir un vin capable de résolument marquer les esprits. Fantastique est ainsi l’expression ultime du Château Sainte Marguerite sur le terroir de La Londe.

 

 

Crédit photo : Hervé Fabre 


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